des jeunes toxicomanes demandent au père Jean-Philippe, frère de Saint-Jean, d’ouvrir une maison familiale pour eux, pour se refaire une santé physique, mentale et spirituelle, mais aussi, pour certains, découvrir Dieu.
A la suite d’une neuvaine rue du Bac, le père Jean-Philippe ouvre une maison d’accueil pour toxicomanes à Pellevoisin sur les hauteurs à l’écart du village. Dans ce village berrichon, proche de Châteauroux, il découvre un sanctuaire marial consacré à « Marie, mère toute miséricordieuse ». C’est ainsi que la Sainte Vierge, la mère de Jésus, déclare : « Je choisis les petits et les faibles pour publier ma gloire ». Frappé de la lumière que ce message de Marie donnait à son action, le père Jean-Philippe n’hésite pas à confier à Marie la maison qu’il vient d’ouvrir, pour qu’Elle puisse y accueillir ses pauvres. C’est ainsi que tous ceux qui le désirent peuvent désormais entamer une démarche spirituelle de découverte ou de re-découverte de la foi.
L'association Saint Jean Espérance, est une œuvre commune entre religieux et laïcs.
Cette maison ouvre avec l’aide des Frères de Saint-Jean mais aussi avec le soutien de nombreux laïcs pour le financement, l’encadrement et la structure juridique de l’Association.
Une autre maison d’accueil ouvre : la Bretèche, près d’Angers.